La zone C, à l'exclusion de Jérusalem-Est, abrite, en 2016, 385 900 colons israéliens[5] et environ 300 000 Palestiniens, en 2014[6] Selon le Conseil norvégien pour les réfugiés (en), les régimes de planification et de zonage israéliens de la zone C interdisent toute construction palestinnienne dans pratiquement 70% de la zone et rendent l'obtention de permis, dans les 30% restants, presque impossible[15]. Suite aux Accords de Wye Plantation, de 1998, Israël doit se retirer d'environ 13% supplémentaires de la zone C, vers la zone B, ce qui a officiellement réduit la zone C à environ 61% de la Cisjordanie[11],[12]. Ses fonctions ont été largement reprises par l'Autorité nationale palestinienne, en 1994, mais elle poursuit toujours une gestion partielle de la population palestinienne, dans la zone C de Cisjordanie, et de coordination avec le gouvernement palestinien. Le Hamas peut-il porter plainte contre Israël ? Les zones A et B sont choisies de manière à n'inclure que des Palestiniens, en traçant des lignes autour des centres de population palestiniens au moment de la signature de l’Accord. Les zones A et B n’incluent que des Palestiniens. Les Accords d’Oslo en 1993 ont divisé la Cisjordanie en trois zones : A, B et C. La zone C, qui représente plus de 60% du territoire, est entièrement sous administration israélienne. Les zones C devaient être progressivement converties en zones A et B. Cette étape n'a toujours pas été accomplie à ce jour. Selon le découpage provisoire de la Cisjordanie intervenu il y a 20 ans, la vallée du Jourdain se trouve en zone C. Contrairement aux zones A et B, l’Autorité palestinienne n’a donc ici aucun pouvoir. Les zones C devaient être progressivement converties en zones A et B. Cette étape n'a toujours pas été accomplie à ce jour. La zone A représente environ 18 % de la Cisjordanie et la zone B environ 22 %, qui comprennent toutes deux quelque 2,8 millions de Palestiniens[10]. La zone B (actuellement près de 18% du territoire, et environ 40% de la population) est sous contrôle civil palestinien et sous contrôle militaire conjoint israélo-palestinien et comprend essentiellement des communes rurales et des villages. Les avant-postes israéliens violent également la loi israélienne. 3 Selon les Accords d’Oslo de 1993, la Cisjordanie est divisée en trois zones − A, B et C − qui représentent respectivement 18 %, 21 % et 61 % de la Cisjordanie. Jérusalem-Est, le no man's land et de la partie palestinienne de la mer Morte font également partie du pourcentage. En 2013, la zone C comprend officiellement environ 63% de la Cisjordanie, avec les colonies, les avant-postes et les terres d'État[14]. La zone C est richement dotée de ressources naturelles, notamment de terres agricoles et de pâturages palestiniens. En revanche, il englobait des terres n’appartenant pas à Israël aujourd’hui : l’extrémité orientale du Sinaï, les territoires sur la rive gauche du Jourdain, appartenant à l’actuelle Jordanie, le Sud de la bande de Gaza, la totalité de la Cisjordanie. Area C. Over 60 per cent of the West Bank is considered Area C, where Israel retains near exclusive control, including over law enforcement, planning and construction. La zone C comprend toute la surface non comprise dans les zones A et B. Composée essentiellement d'espaces ruraux, elle représente environ 70% desdits territoires. La zone C est définie comme « des zones de la Cisjordanie situées en dehors des zones A et B, qui, à l'exception des questions qui seront négociées lors des négociations sur le statut permanent, seront progressivement transférées à la juridiction palestinienne conformément à cet accord »[3]. Le reste (zone C) reste sous contrôle total israélien. Selon l'Accord provisoire d'Oslo signé entre l'Organisation de libération de la Palestine (OLP) et le gouvernement israélien en 1993, la Cisjordanie a été divisée en trois domaines : la zone (A), sous contrôle palestinien, la zone (B) sous contrôle palestinien et israélien, et la zone (C… C’est dans cette zone que les colonies sont implantées, sauf quelques cas isolés. La zone C (en hébreu : שטח C) est une division administrative de la Cisjordanie, définie par l'accord Oslo II[1],[2]. La zone C, cette partie de Cisjordanie que la droite israélienne n’a jamais voulu lâcher Écrit par CPAM Radio sur juillet 3, 2020 Un manifestant brandit un drapeau palestinien devant les forces israéliennes lors d’une manifestation contre le plan d’annexion de certaines parties de la Cisjordanie occupée, près de Tulkarem, le 5 juin 2020. La zone A est sous contrôle exclusif palestinien, la zone B sous administration palestinienne et contrôle sécuritaire israélien et donc la zone C, … La zone C, cette partie de Cisjordanie que la droite israélienne n’a jamais voulu lâcher Écrit par CPAM Radio sur juillet 3, 2020 Un manifestant brandit un drapeau palestinien devant les forces israéliennes lors d’une manifestation contre le plan d’annexion de certaines parties de la Cisjordanie occupée, près de Tulkarem, le 5 juin 2020. En 1967, à la suite de la guerre des Six Jours, Israël prend (notamment) le contrôle de ces territoires à la suite de sa victoire militaire sur les troupes jordaniennes et irakiennes de Cisjordanie, ainsi qu'égyptiennes et palestiniennes de la bande de Gaza. L'Accord intérimaire sur la Cisjordanie et la bande de Gaza, également appelé Oslo II, divise la Cisjordanie en trois zones administratives : les zones A, B et C. Ces zones distinctes se voient attribuer un statut différent selon l’autonomie des Palestiniens locaux par l’ Autorité palestinienne, jusqu'à ce qu'un accord de statut final soit établi. La zone A (qui recouvre aujourd'hui environ 18% de la superficie totale des territoires et regroupe près de 50% de la population) est sous le contrôle civil et militaire palestinien et englobe les grandes villes, à l'exception d'Hébron, qui est en partie contrôle de l'armée israélienne. Ces territoires se composent avant tout de zones peu peuplées, de villages palestiniens et de colonies israéliennes. La zone B est légèrement plus exposée à l’occupation ; alors que les Palestiniens maintiennent un contrôle civil, elle relève de la juridiction de l’armée israélienne. La Cisjordanie est divisée en 3 zones (selon les accords d'Oslo de 1994): A, B et C. La zone A est entièrement sous contrôle civil et militaire palestinien.Comprend environ 4% de la Cisjordanie. Mais c’est dans la zone C que les Palestiniens de Cisjordanie ressentent l’occupation de la manière la plus crue et la plus profonde, car cette zone est sous le contrôle civil et militaire total d’Israël. L'Accord intérimaire sur la Cisjordanie et la bande de Gaza, https://info.arte.tv/fr/la-repartition-en-trois-zones-de-la-cisjordanie, Retrouvez _Tous Les Internets sur arte.tv. L’implantation des colonies israéliennes et leurs projets d’extension rendent difficile la mise en place d’une continuité territoriale pour le futur Etat palestinien. À la suite des accords d'Oslo (1993) et de l'Accord intérimaire sur la Cisjordanie et la bande de Gaza (1995), Israël en administre seule une partie, la zone C (60%), la zone B étant administrée conjointement par Israël et l'Autorité palestinienne, la zone A étant entièrement sous contrôle palestinien. Au terme des accords d’autonomie d’Oslo II (1995), le territoire palestinien a été divisé en trois zones : une zone A relevant de l’autonomie palestinienne (60% de la Bande de Gaza et 3% de la Cisjordanie, à savoir les villes de Jéricho, Jénine, Qalqilya, Ramallah, Tulkarem, Naplouse et Bethléem) ; une zone C dépendant des seuls Israéliens (70% du territoire, incluant les colonies israéliennes implantées en Cisjordanie, … Most of Area C has been allocated for the benefit of Israeli settlements or the Israeli military, at … C'est la seule partie contiguë de la Cisjordanie, de sorte que tous les projets à grande échelle, impliquent des travaux dans la zone C[3]. En 1995, lors de la première phase, la zone C représentait initialement autour de 72–74% de la Cisjordanie. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. L’accord "Oslo II", signé en 1995, entérine la répartition en trois zones des territoires de la Cisjordanie : les zones A, B et C. Il était conçu au départ pour une période de transition de cinq ans, au terme desquels devait exister un État palestinien souverain. La communauté internationale considère que les implantations dans les territoires occupés sont illégales[7] et l’Organisation des Nations unies a affirmé à plusieurs reprises que la construction de colonies de peuplement par Israël constitue une violation de la quatrième Convention de Genève (en). La zone C (qui représente aujourd'hui à peu près 60% du territoire, et abrite environ 6% de la population) est la seule bande de terre continue, et se trouve entièrement sous contrôle israélien, tant au plan civil que militaire. Le mécanisme qui a permis cela, c’est la division de la Cisjordanie en trois zones, A, B et C, en vertu des accords de 1995 (Oslo II). L’ administration civile israélienne (en) est créée par le gouvernement d’Israël en 1981 afin de s’assurer les fonctions administratives dans les Territoires occupés par Israël, depuis 1967. La zone B comprend environ quatre cent cinquante lieux habités, c'est-à-dire pratiquement tous les villages, les hameaux et lieux-dits et représente 27% des territoires en Cisjordanie. La zone A comprend environ 18% du territoire total de la Cisjordanie et la zone B environ 22% du territoire, abritant ensemble quelque 2,8 millions de Palestiniens. En vertu des accords d’Oslo de 1995 entre Israël et l’Autorité palestinienne, la Cisjordanie, y compris Jérusalem-Est, a été divisée en trois parties – les zones A, B et C. Israël empêche les Palestiniens de mener des projets de construction dans des parties de la Cisjordanie désignées comme zone C en vertu de l’accord, qui relève du contrôle administratif et sécuritaire d’Israël. En termes de population, les zones A et B comptent 2,4 millions de palestiniens alors que la zone C … La population juive de la zone C est administrée par l'administration du district de Judée et Samarie, tandis que la population palestinienne est directement administrée par le coordinateur des activités gouvernementales dans les territoires (en) et indirectement par l'Autorité palestinienne à Ramallah. Cependant Israël, se retire de seulement 2% de la Zone C[13] et lors de l'opération Rempart, en 2002, l'Armée israélienne réoccupe tout le territoire. Les territoires autonomes palestiniens (zones A et B) représentent 37% de la Cisjordanie. Israël conserve une large autorité sur la zone C, y compris en matière de sécurité, de planification et de zonage. Suivant l’accord intérimaire de 1995 dit « d’Oslo II », la Cisjordanie est divisée en 3 zones : A, B et C. La Zone A est sous contrôle complet de l’Autorité palestinienne, La Zone B sous contrôle conjoint entre l’Autorité palestinienne (administration civile) et Israël (contrôle militaire). L'Accord intérimaire sur la Cisjordanie et la bande de Gaza, également appelé Oslo II, divise la Cisjordanie en trois zones administratives : les zones A, B et C. Ces zones distinctes se voient attribuer un statut différent selon l’autonomie des Palestiniens locaux par l’ Autorité palestinienne, jusqu'à ce qu'un accord de statut final soit établi. Les colonies juives — hors Jérusalem-Est — sont pratiquement toutes situées en zone C. La grande majorité des Palestiniens vit dans les zones A et B L'Accord intérimaire sur la Cisjordanie et la bande de Gaza, également appelé Oslo II, divise la Cisjordanie en [] trois zones administratives : les zones A, B et C. Ces zones distinctes se voient attribuer un statut différent selon l'autonomie des Palestiniens locaux … Les accords intérimaires israélo-palestiniens du 28 septembre 1995, dits Oslo II, divisent la Cisjordanie en trois zones de souveraineté distinctes, qui se répartissent aujourd’hui comme suit : • la zone A (18 % du territoire), où s’exerce l’« autonomie » palestinienne ; Elaboré sur la base d'une carte et des informations de l'OCHA (Bureau de coordination des affaires humanitaires des Nations-unies), Elaboré sur la base d'une carte et des informations de l'OCHA (Bureau de coordination des affaires humanitaires des Nations-unies), La répartition en trois zones de la Cisjordanie, Les accords d'Oslo, bases et développements. La Cisjordanie fait l'objet de nombreuses résolutions de l'ONU dont la 181 et la 242. La zone B est sous contrôle civil palestinien mais sous contrôle militaire israélien. La zone C, correspondant à 60 % de la Cisjordanie, qui reste sous le contrôle presque total d’Israël. En mars, le président américain Donald Trump a reconnu la souveraineté (CISJORDANIE ET GAZA) Zone A Zone B Zone C Réserve naturelle Colonie de peuplement israélienne : Plus de 500 000 hab. La zone C, à l'exclusion de Jérusalem-Est, comprend une population de 385 900 colons israéliens, en 2016[5], répartis dans 135 colonies[2], et environ 300 000 Palestiniens, en 2014[6]. L’administration civile fait partie d’une entité plus vaste connue sous le nom de coordonnateur des activités gouvernementales dans les territoires (en) (COGAT), qui est une unité du Ministère israélien de la Défense (en). Bien que formellement séparée, elle est subordonnée à l'Armée israélienne et au Shin Bet[8],[9]. L'Accord intérimaire sur la Cisjordanie et la bande de Gaza de 1995 (également connu sous le nom d'accord "Oslo II") entérine la répartition en trois zones des territoires de la Cisjordanie : les zones A, B et C. L'accord Oslo II était conçu au départ pour une période de transition de cinq ans, au terme desquels devait exister un Etat palestinien souverain. La zone A – administrée exclusivement par l’Autorité palestinienne – ne représente que 18 % de la Cisjordanie, tandis que la zone B – censée être sous contrôle civil palestinien et sous contrôle de sécurité conjoint israélo-palestinien – représente environ 21 % de la même zone. L'Autorité palestinienne est responsable des services médicaux et éducatifs des Palestiniens de la zone C, tandis que la construction des infrastructures est faite par Israël[4]. Areas A and B are themselves divided among 227 separate areas (199 of which are smaller than 2 square kilometers (1 sq mi)) that are separated from one another by Israeli-controlled Area C. Areas A, B, and C cross the 11 governorates used as administrative divisions by the Palestinian National Authority, Israel, and the IDF and named after major cities. Israël conteste la position de la communauté internationale et les arguments juridiques qui ont été utilisés pour déclarer les colonies illégales. Frontière d'État Barrière israélienne achevée Barrière israélienne en construction Barrière israélienne en projet Ligne d'armistice de 1949 ("ligne verte") La zone A est sous le Les zones C, qui représentent 60 % de la Cisjordanie actuelle, sont entièrement sous contrôle israélien. Il est facile de conclure que les deux zones, A et B, représentant 36% de la superficie de la Cisjordanie, sont déjà congestionnées et que la seule zone disponible restante pour les Palestiniens pour un État viable est située dans ce qui constitue aujourd’hui la zone C. La dernière modification de cette page a été faite le 2 mars 2021 à 19:35. Elle représente 61[3] à 62 % du territoire de la Cisjordanie[2]. En 2015, la zone C abrite 150 000 Palestiniens dans 532 zones résidentielles. Les zones C devaient être progressivement converties en zones A et B. Cette étape n'a toujours pas été accomplie à ce jour. La Cisjordanie est l'un des enjeux du conflit israélo-palestinien. « des zones de la Cisjordanie situées en dehors des zones A et B, qui, à l'exception des questions qui seront négociées lors des négociations sur le statut permanent, seront progressivement transférées à la juridiction palestinienne conformément à cet accord », le site du Conseil norvégien pour les réfugiés (lien archivé), coordinateur des activités gouvernementales dans les territoires, coordonnateur des activités gouvernementales dans les territoires, Accord intérimaire sur la Cisjordanie et la bande de Gaza, Statut des territoires occupés par Israël en 1967, Plan de désengagement des territoires occupés, Droit au retour des réfugiés palestiniens, Front populaire de libération de la Palestine, Élections législatives palestiniennes de 2006, https://fr.wikipedia.org/w/index.php?title=Zone_C_(Territoires_palestiniens)&oldid=180478392, Article contenant un appel à traduction en anglais, Page utilisant le modèle Autorité inactif, licence Creative Commons attribution, partage dans les mêmes conditions, comment citer les auteurs et mentionner la licence. Trois événements récents font penser que l’annexion de tout ou partie de la Cisjordanie par Israël est à l’ordre du jour.
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