Le 15 novembre 2013, après une quatrième victoire en quatre rencontres, les hommes de López Caro sont assurés de se qualifier pour le tournoi continental[22], ne pouvant plus être rattrapés par les deux dernières équipes de leur poule, dont ils terminent en tête sans connaître la défaite. Le réseau du Foot sur Internet vous fait partager sa passion du ballon rond. C'est lors de la campagne pour le tournoi de Montréal en 1976 que la sélection a commencé son histoire olympique. Photo : PictureAlliance / Icon Sport, L’Afrique du Sud nommera un nouveau sélectionneur d’ici, fin avril, à la suite du limogeage de Ntseki Molefi, qui n’a pas réussi à qualifier les Bafana Bafana pour la CAN 2021 au Cameroun. Ils doivent par conséquent affronter leurs voisins du Bahreïn pour désigner la nation asiatique qui affrontera les Kiwis néo-zélandais en barrage inter-continental Asie-Océanie. Les partenaires de Fuad Amin s'inclinent lors de leur premier match face aux Pays-Bas[f 7] avant de s'imposer contre le Maroc[f 8]. Construit en 1970, le stade Prince Abdullah al-Faisal de Djeddah est l'un des stades qui a accueilli l'équipe nationale avant la construction du stade du Roi-Fahd. Ils battent successivement le Sri Lanka, les Émirats arabes unis, le Népal et à nouveau Oman, sans encaisser un seul but[t 10]. La fédération choisit de ne pas inscrire la sélection dans les éliminatoires de la Coupe d'Asie des nations 1980, disputée au Koweït. Le bilan global est largement favorable aux Saoudiens avec 18 victoires et 16 matchs nuls, contre 9 défaites. Le bilan de 18 victoires saoudiennes et 11 matchs nuls est très largement en faveur des Faucons. En juillet, un grand nom du football européen s'assoit sur le banc de la sélection : le Néerlandais Frank Rijkaard est choisi par la fédération saoudienne pour mener les Faucons vers la Coupe du monde au Brésil[20]. Les hommes de Juan Antonio Pizzi remportent le dernier match de groupe, pour l'honneur contre l'Égypte (2-1) grâce à un pénalty converti par Salman Al-Faraj dans les arrêts de jeu de la première mi-temps et un dernier but de Salem al-Dossari dans le temps additionnel de la partie et ce, malgré un premier pénalty tiré quelques minutes avant la pause par Fahad al-Muwallad et détourné par le portier égyptien Essam el-Hadari, plus vieux gardien à disputer une phase finale de Coupe du monde[28]. Buteur vedette de sa formation, celui que l'on surnommait le « Pelé arabe » a terminé six fois meilleur buteur du championnat saoudien. Malgré le bon parcours des Saoudiens en Coupe d'Asie, al-Johar retrouve son poste d'adjoint et voit les dirigeants de la fédération choisir l'ancien sélectionneur de la RF Yougoslavie, Slobodan Santrač. L'objectif affiché du groupe saoudien est de faire aussi bien qu'en 1994, à savoir atteindre le deuxième tour[12]. Les trois premiers matchs, disputés avant la Coupe d'Asie, confirment le bon état de forme des hommes de van der Lem, qui obtiennent trois victoires, sans encaisser de but. Fidèle toute sa carrière au club d'Al Shabab, son but et le bon parcours des Saoudiens lui permettent d'être élu meilleur joueur asiatique 1994. C'est la fédération saoudienne qui est à l'origine de la création de ce qui est aujourd'hui la Coupe des confédérations. Cet échec sportif entraîne le licenciement du sélectionneur, Gerard van der Lem, qui est remplacé par Nasser al-Johar[13]. Une seconde défaite lors du dernier match de poule face à l'Irak entraîne un événement inédit : une élimination de l'Arabie saoudite dès le premier tour de la Coupe d'Asie. Le sélectionneur Milan Máčala peut ainsi faire de nombreux essais lors des matchs amicaux de préparation prévus par la fédération, entre mai et octobre. Le deuxième titre continental est remporté à l'issue d'un match vierge de but, après une séance de tirs au but contre la Corée du Sud[t 14]. Versés dans le groupe 4, ils sont opposés à l'Ouzbékistan, à Singapour et au Liban. Après un bref passage du Néerlandais Leo Beenhakker (licencié après seulement trois mois d'exercice[5]), c'est le technicien argentin Jorge Solari qui est choisi pour emmener les Saoudiens aux États-Unis. Les Saoudiens ont affronté à 37 reprises la sélection de Bahreïn[45]. La baisse de niveau durant les années 2000 a logiquement entraîné l'absence de la sélection lors des Coupes du monde 2010 et 2014, avec un barrage continental perdu en 2009 face à Bahreïn, et une élimination dès le troisième tour de la zone Asie pour l'édition 2014. Le faucon est l'animal symbole de l'équipe nationale. En janvier 2009, l'Arabie saoudite prend part à la Coupe du Golfe, organisée au sultanat d'Oman dont ils atteignent la finale (perdue contre le pays organisateur) sans encaisser un seul but[t 29]. Un mois avant la phase finale aux Émirats arabes unis, les Faucons affrontent des nations venues de plusieurs continents (Bulgarie, Syrie, Mali et Indonésie) puis s'envolent pour Dubaï. Ils ont également eu l'honneur de disputer en 1992 face aux États-Unis le tout premier match de l'histoire de la Coupe des confédérations, appelée à l'époque Coupe du Roi-Fahd. Cette campagne qualificative pour le Mondial russe a toutefois donné lieu à une polémique. Malgré ce résultat intéressant pour une première participation, la collaboration entre Solari et la fédération saoudienne prend fin, à la suite d'un accord entre les deux parties avant le début de la compétition[8]. Les résultats ne sont pas au rendez-vous avec une dernière place de leur poule[t 13] (deux nuls et deux défaites). Les Saoudiens enchaînent trois semaines plus tard avec une deuxième place[t 23] derrière le Koweït lors de la Coupe du Golfe 1998, tout en terminant la compétition invaincue. Elle rate du même coup la Coupe du monde pour la deuxième fois consécutive. Manuel Da Costa (Al-Ittihad) et Mbark Boussoufa (Al-Shabab) ont signé là-bas cet hiver, rejoignant d’autres Lions: Nordin Amrabat (Al-Nassr), Karim Al Ahmadi (Al-Ittihad) et Aziz Bouhadouz (Al-Baten).. Tous ces joueurs sont très appréciés d’Hervé Renard. Versés dans le groupe C avec le Japon, le Qatar et l'Ouzbékistan[t 24], les Faucons démarrent mal leur tournoi avec une lourde défaite face aux Blue Samouraï sur le score de quatre buts à un. Après six mois d'arrêt à la suite de la désillusion en Coupe du monde, la sélection, à présent dirigée par le Néerlandais Gerard van der Lem, prend part à la Coupe arabe des nations dont elle est tenante du titre après son succès en 1998. Cependant, les coéquipiers de Fahad al-Muwallad auront montré un bien meilleur visage que lors des deux précédentes éditions continentales qui les avaient vus être éliminés dès les phases de poules. Ces deux années à l'écart de la scène internationale précèdent la période la plus glorieuse de l'histoire de la sélection saoudienne. Cette défaite 8-0 est la quatrième en termes d'écart derrière le 10-1 de Hongrie-Salvador (1982) et deux matchs conclus sur le score de 9-0 (Yougoslavie-Zaïre de 1974 et Hongrie-Corée du Sud de 1954). La compétition a vu le nombre d'équipes engagées augmenter au fil des années et à l'origine disputée sous forme d'une poule unique où tous les participants se rencontrent une fois. Avec l'arrivée du Yémen à partir de 2004, ce qui porte à huit le nombre de participants, la compétition est modifiée et se calque sur la Coupe des confédérations : un premier tour où les équipes sont réparties en deux poules de quatre suivie d'une phase finale avec demi-finales et finale, sans match pour la 3e place. Lors de la poule finale à six, organisée à Doha au Qatar, les hommes du Brésilien José Candido, obtiennent pour la première fois leur billet pour la phase finale du Mondial, avec la première place du groupe[t 18], accompagnés aux États-Unis par la Corée du Sud. "Vous avez de fausses idées au sujet de notre pays. C'est à ce jour le meilleur résultat de l'équipe saoudienne dans cette compétition. Un ballon de football vert stylisé occupe la partie centrale, avec un palmier et deux sabres à son pied, comme sur l'écusson de la fédération. Lors du premier tour des qualifications, jouées à l'aller en Malaisie et au retour à Taïf, l'Arabie saoudite l'emporte facilement, s'imposant le 16 mai 1993 8-0[f 6] face à la sélection de Macao. La fédération saoudienne n'a engagé l'équipe nationale qu'assez tardivement dans les éliminatoires de la Coupe du monde. Les éliminatoires de la Coupe du monde 1994 démarrent au printemps 1993, après une tournée de quatre matchs amicaux (contre la Nouvelle-Zélande à deux reprises, Singapour et les États-Unis). En 1979, la cinquième édition de la Coupe du Golfe voit les Saoudiens terminer à la troisième place[t 5], loin derrière l'Irak, pays organisateur, qui a survolé la compétition. À chaque fois, les Faucons ont terminé à la dernière place de la poule, après avoir perdu tous leurs matchs. Marcos Paquetá reste néanmoins à son poste et parvient à mener les Saoudiens en phase finale de Coupe d'Asie, avec notamment une victoire en septembre à domicile contre le Japon. Il a marqué dès son premier match avec sa nouvelle formation. Pfister démarre son mandat par une série de matchs amicaux, tous victorieux, face à trois sélections africaines (Tanzanie, Soudan et Sénégal). Rijkaard et son groupe sont dans le groupe B avec l'Irak, le Koweït et le Yémen. Ils dominent ensuite l'Ouzbékistan en quart de finale puis battent le tenant du titre, le Japon, en demi-finale, et atteignent ainsi pour la sixième fois la finale de l'épreuve, un record[n 3]. Les deux autres matchs sont perdus contre l'Ukraine et l'Espagne, qui se qualifient pour les huitièmes de finale. Arabie Saoudite – Qatar 30-25 2ème journée Lundi 28 octobre 12h00: Maroc – Qatar 15h00: Arabie Saoudite – Jordanie 17h00: Tunisie -Koweit 3ème journée Mardi 29 … L'attaquant d'Al-Shabab Riyad traverse toute la moitié de terrain belge avant d'aller tromper le portier des « Diables rouges », Michel Preud'homme, l'un des meilleurs gardiens de but du monde à cette époque[7]. Le match pour la troisième place est également perdu face aux États-Unis. C'est à ce jour le dernier match de Coupe des confédérations des Verts. Elle a également réussi une série[n 7] de seize matchs de phase finale de Coupe d'Asie sans connaître la défaite, entre 1984 et 1992. Le tirage au sort verse les Saoudiens dans la poule C, en compagnie de l'Irak, de la Chine et de l'Indonésie. L'équipe nationale dispute, et remporte, la première rencontre de son histoire en 1957, face à la Syrie. 44 matchs ont eu lieu entre Saoudiens et Koweïtiens depuis 1961 et le match des Jeux panarabes, remporté par les Verts. Le technicien saoudien commence son mandat de sélectionneur par un match nul sans but contre les Qataris. Suite à sa prestation décevante lors de la précédente Coupe d'Asie des nations, la fédération saoudienne cherche à remplacer le sélectionneur roumain Cosmin Olăroiu par un entraîneur de renom dans le but de qualifier le pays pour la prochaine Coupe du monde qui se tiendra en Russie. Né en 1972, il succède à son frère Abdullah dans les buts du club d'Al Ta'ee Ha'il où il commence sa carrière à 17 ans. Les hommes de Juan Antonio Pizzi ont dominé les débats, en se procurant davantage de tirs et en conservant plus souvent le ballon que leur voisin qatari, néanmoins ceux-ci ont manqué de réalisme face au but, en obtenant deux fois moins de tentatives cadrées que les Al-Annabi. Zagallo est finalement licencié en mars 1984, à la suite d'une lourde défaite face à l'Irak 4-0 durant la Coupe du Golfe 1984 à Mascate[4]. Le 20 octobre 1957, l'équipe d'Arabie saoudite dispute le premier match de son histoire, dans le cadre de sa participation au tournoi de football des Jeux panarabes organisés à Beyrouth au Liban. L'autre surnom des Saoudiens, les « Verts », leur vient de la couleur dominante de la tenue portée lors des rencontres internationales puisque le maillot, le short et les bas sont entièrement verts. L'Arabie saoudite a pris part assez tardivement à la Coupe d'Asie des nations, de manière similaire à la Coupe du monde. Ils ne terminent que troisièmes[t 31] de leur poule et doivent quitter prématurément la compétition. La rencontre tourne à l'avantage de l'outsider puisque grâce à un nouveau but de Mahmoud, les Irakiens décrochent leur tout premier titre de champion d'Asie et les Saoudiens échouent pour la troisième fois en finale de la Coupe d'Asie. Elle a également remporté la Coupe arabe des nations et la Coupe du Golfe des nations, respectivement deux et trois fois. La victoire 3-2 des Faucons leur donne le plein de confiance avant d'entamer la phase de poules, où ils côtoient l'Allemagne, la Côte d'Ivoire et l'Irlande. Il est aujourd'hui entraîneur des attaquants de l'AJ Auxerre en Ligue 2[37]. Yasser al-Qahtani est actuellement le meilleur buteur saoudien en activité puisqu'il a inscrit 45 buts en 102 sélections. Par ailleurs, elle fut finaliste de la première édition de la Coupe des confédérations, disputée à domicile en 1992. Trois autres qualifications suivront, entre 1998 et 2006, avec à chaque fois une élimination dès la phase de poules. Opposés à la Syrie, les Saoudiens l'emportent trois buts à un. Saleh Ben Odran — 5 juillet 2018 à 11h17. Ce revers coûte sa place à Máčala[11], qui est remplacé par son adjoint, Nasser al-Johar. La qualification pour le tournoi final en Iran est obtenue grâce à une deuxième place du groupe derrière les Irakiens[t 2]. Situé au sud-est de Djeddah, il peut contenir 23 000 spectateurs et va voir sa capacité évoluer à la suite de travaux entrepris en 2013. À l'instar de son rival qatari, l'Arabie saoudite tend à développer son influence dans le football via des investissements colossaux et une politique offensive. Cette fois-ci, les Faucons n'obtiennent qu'un match nul 2-2 avant de se faire surprendre par l'Ouzbékistan (0-1). C'est l'entraîneur du club d'Al-Hilal, le Brésilien Marcos Paquetá qui le remplace pour préparer au mieux la Coupe du monde 2006. On peut citer le cas d'Ahmed Abdulla qui est né en Arabie saoudite mais a émigré avec sa famille à Londres à l'âge de 8 ans[31]. C'est la nation qu'ils ont le plus souvent affrontée. Ainsi 35 entraîneurs se sont succédé sur le banc saoudien depuis 1970. Il s'est forgé un palmarès impressionnant avec son club : huit championnats, six Coupes d'Arabie saoudite, deux Ligues des champions d'Asie, deux Coupes des Coupes… Avec la sélection nationale, il a un bilan de 156 matchs pour 46 buts et a remporté la Coupe d'Asie des nations en 1996. Elle se qualifie ainsi pour le 3e tour et se retrouve dans le groupe B, avec l'Australie, le Japon, la Thaïlande, l'Irak et à nouveau les Émirats arabes unis. Comme face au Qatar, l'Arabie saoudite aura payé cher son manque de finition, ne cadrant qu'un seul de ses 15 tirs, tout le contraire des Blue Samouraïs qui ont fait mouche sur une de leurs uniques occasions du match. La rencontre du 24 octobre 2000 est celle qui a revêtu le plus grand enjeu puisqu'elle est disputée à l'occasion du quart de finale de la Coupe d'Asie des nations, remportée par les hommes de Nasser al-Johar, qui allaient échouer en finale. C'est sur cet échec que Türel quitte son poste de sélectionneur, ce qui entraîne le retrait de l'équipe nationale pendant près de deux ans, jusqu'à l'automne 1992. L'attaquant d'Al-Shabab Riyad est l'auteur du raid à travers toute la défense belge, conclu par le seul but de la rencontre entre l'Arabie saoudite et les Diables Rouges, lors du premier tour de la Coupe du monde 1994[38]. Engagés dans les éliminatoires de la Coupe du monde 1982, les Faucons terminent en tête du groupe 2, dont tous les matchs sont disputés à Riyad. Et l’enjeu est plus que sportif. Il remporte ensuite son premier titre avec les partenaires d'Obeid al-Dosari (sacré meilleur buteur) en s'imposant face au Qatar[t 22] lors de la 7e édition de la Coupe arabe des nations, six ans après en avoir atteint la finale.
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