Le plan de partage de l'ONU essaie d'en intégrer un maximum dans le nouvel État juif projeté, Selon le Plan de Partage, l'État juif comprenait la plaine côtière, qui s'étend de, et le désert du Néguev, incluant l'avant-poste de Umm Rashrash au sud (maintenant appelé, L'État arabe devait recevoir l'ouest de la Galilée, avec la ville d', , et le sud de la côte, s'étendant du nord de Majdal (maintenant, , avec une partie du désert le long de la frontière, à population majoritairement arabe, au sud de. Le plan sera voté en Assemblée générale, mais il manquerait une voix pour que la résolution soit acceptée[24]. J'envoie. Ce plan prévoit la partition de la Palestine mandataire en trois entités, avec la création 10 000 Juifs seraient alors dans l'État arabe. Ce sont 80 000 nouveaux immigrants qui arrivent entre 1924 et 1928 et on en compte encore 180 000 jusqu’en 1939. Le nouveau Yichouv et les communautés juives sionistes accueillent favorablement ce vote mais les Arabes palestiniens et l'ensemble des pays arabes qui militaient pour la constitution d'un État arabe sur toute la Palestine rejettent la résolution. Le président américain va donc user de tout son pouvoir de la grande puissance militaire du moment. La très grande majorité des Arabes palestiniens et des États arabes sont opposés à ce plan qu’ils trouvent injuste car allant à l’encontre de la volonté des populations locales. Les représentants arabes palestiniens refusent de prendre part une fois de plus à des débats sur la question. L’État juif proposé regrouperait une majorité de Juifs (558 000 pour 405 000 Arabes). Même si on veut bien prendre en compte l’importance structurelle des contes et légendes de la Bible, si vingt siècles après avoir été chassés par les Romains les Juifs peuvent se croire autorisés à réaliser leur rêve psalmodié dans leurs prières rituelles : Comment peut-on imaginer que les Arabes qui ont été (continuent à être chassés par les sionistes), depuis une cinquantaine d’année ne soient pas justifiés à se battre pour leurs droits avec tous les moyens qu’ils jugent appropriés pour récupérer leurs terres. Au moment du plan de partage, la population totale de Palestine est composée pour deux tiers d’Arabes et un tiers de Juifs. L’indépendance et l’autonomie vont de plus mettre fin aux quotas d’immigration imposés par le Livre blanc depuis 1939. Le plan est accepté par les dirigeants de la communauté juive en Palestine, par le biais de l'Agence juive à l'exception de ceux de l'Irgoun. es, mesure d’audience anonymisée, envoi des notifications push, suivi des pannes, mise en avant de nos services : ces outils sont nécessaires au suivi de l’activité de nos services et à leur bon fonctionnement. Résolution 181 (29 novembre 1947). Le plan de partage de l’ONU en 1947. Dans un souci de neutralité, aucune des grandes puissances de l’époque ne fut représentée. 29 novembre 1947: l'ONU adopte un plan de partage de la Palestine en deux Etats indépendants, un juif et un arabe. Adoption du plan de partage : la Palestine est divisée en deux Etats indépendants, l’un arabe, l’autre juif, et Jér Le plan est rejeté par les pays de la Ligue Arabe. Pour cela, nous utilisons les technologies mises à disposition par certains acteurs publicitaires. Il est à noter que l’ONU accorde aux sionistes 50 % de plus que le plan Peel de 1937 soit 60 % du territoire alors qu’ils n’avaient jusqu’alors que 7 % de la propriété foncière ; de plus ce territoire comporte 80 % des terres céréalières de la Palestine et 40 % de son industrie. résolution 181 adoptée par l'Assemblée générale des Nations unies, le 29 novembre 1947, recommande le partage de la Palestine entre un État juif et un État arabe, en proposant pour les Lieux saints un « corpus separatum Les pays arabes refusent le plan de partage : les Arabes de Palestine et les gouvernements de tous les États arabes, refusent d'accepter les recommandations de la résolution 181, et font savoir qu'ils s'opposeront par la force à l'application de ces recommandations. Sa victoire est favorisée une supériorité militaire, le soutien des deux Grands (livraison d’armes soviétiques). 55 % du territoire total, 80 % des terres céréalières et 40 % de l'industrie de Palestine sont récupérés par la communauté juive, La très grande majorité des Arabes vivant en Palestine et la totalité des États arabes, rejetèrent ce plan .Sur le principe, ils rejetaient toute division de la. Jusqu’ici l’entreprise sioniste a fait du bon travail en préparant la création de l’État hébreu. , le plan de partage de la Palestine (ou plus exactement de ce qui restait de la Palestine, une partie ayant déjà été séparée afin de constituer la Transjordanie) élaboré par l'U.N.SCOP (United Nation Special Comitte on Palestine) est approuvé par l'Assemblée Générale de l', (résolution 181 de l'assemblée générale). La zone internationale centrée sur Jérusalem compterait 100 000 Juifs pour 105 000 Arabes. Il est rejeté par la quasi-totalité des dirigeants de la communauté arabe, y compris par le Haut Comité arabe palestinien, qui est appuyé dans son rejet du plan par la Ligue arabe qui annonce ses intentions de prendre « toutes les mesures nécessaires pour empêcher l'implémentation de la résolution » et par certains États arabes qui déclarent leurs intentions d'attaquer l'État juif[3],[4],[5],[6]. La résolution 2334, approuvée vendredi, a constitué un souffle de bonnes nouvelles, d’espoir, dans la … 10 000 Juifs seraient alors dans l’État arabe. Les Arabes de Palestine et les gouvernements de tous les États arabes refusent d’accepter les recommandations de la résolution 181, et font savoir qu’ils s’opposeront par la force à l’application de ces recommandations. Les souffrances subies par les Juifs au cours de la dernière guerre doivent constituer un élément important dans la décision de l’Assemblée. Ils refusent également que Jérusalem soit placée sous juridiction internationale. La majorité des Juifs sionistes se réjouissent cependant d’obtenir enfin un État indépendant. Seit 1922 hatte der Völkerbund die Schaffung einer nationalen Heimstätte für Juden (Jewish National home) in Palästina im Völkerbundsmandat für Palästina festgeschrieben. Une iniquité ! Ce plan prévoit la partition de la Palestine mandataire en trois entités, avec la création d’un État juif et d’un État arabe, tandis que la ville de Jérusalem et sa proche banlieue sont placées sous contrôle international en tant que corpus separatum. » Le monde arabe appelle à la guerre, comme en témoigne le quotidien nationaliste égyptien Balagh : « L’heure de la lutte a sonné. Le 29 novembre 1947, l’ONU met fin au mandat britannique en Palestine et se prononce en faveur de la création d’un Etat juif et d’un Etat palestinien, avec Jérusalem restant sous contrôle international. La première période commence dès le lendemain de l'adoption du Plan de Partition de la Palestine par l'Assemblée générale de l'ONU (voir Le refus de ce plan par les pays arabes ainsi que la détérioration des relations entre juifs et arabes en Palestine conduit à la, Zones juives en 1947. Si la Société des Nation avait été l’instrument choisi pour conférer à l’association anglo- sioniste un semblant de respectabilité internationale, les Nations Unies furent, quant à elles appelées à jouer le même rôle grâce à l’entente américano sioniste, à laquelle les « pays de l’Est » dont l’URSS, ont apporté, pour des raisons politiques bien spécieuses leur éminente contribution. Israël, ONU. Si les Arabes s’en vont, il sera libre et ouvert pour nous. qu'ils appelaient de tous leurs vœux. En 1917, la déclaration Balfour officialise le soutien du gouvernement britannique à l’établissement d’un foyer national juif en Palestine. Israël «temporairement réduit» ses relations diplomatiques avec la France et onze autres pays. La ville de Jaffa à population majoritairement arabe, au sud de Tel Aviv, devait initialement faire partie de l’État juif. L’ONU avait proposé en 1947 un plan de partage de la Palestine sous mandat britannique en deux Etats, l’un juif et l’autre arabe. L’UNSCOP remet officiellement ses conclusions à la mi-septembre. L'essentiel des terres côtières cultivables lui revient. Le plan a appelé à la partition de la Palestine en deux états, l’un juif et l’autre arabe. Résolution 694 (24 mai 1991). Celui-ci serait par conséquent peuplé à 99 % d’Arabes, avec une communauté de 804 000 habitants. L’évocation de leur nécessaire transfert, volontaire ou forcé, avait été faite à plusieurs reprises les années précédentes.[réf. Le 29 novembre 1947, l’Assemblée générale de l’ONU a adopté une résolution pour établir un Etat juif (à côté d’un Etat arabe) dans la terre d’Israël. La résolution 181 adoptée par l'Assemblée générale des Nations unies, le 29 novembre 1947, recommande le partage de la Palestine entre un État juif et un État arabe, en proposant pour les Lieux saints un « corpus separatum » : 14 000 kilomètres carrés, avec 558 000 juifs et 405.000 arabes pour l'État juif, 11.500 kilomètres carrés, avec 804.000 arabes et 10 000 juifs pour l'État arabe, 106 000 … Ayant mis à sa disposition trois officiels de haut rang, dont Abba Eban, l'Agence juive s'assure que ce comité soit chaudement accueilli lors de ses déplacements et que ses membres soient mis en contact avec des colons parlant leurs langues maternelles (suédois, espagnol, persan…). – Partage de la Palestine – Le 29 novembre 1947, l’Assemblée générale de l’ONU adopte la résolution 181 sur […] Ce plan, destiné à résoudre le conflit entre, , propose le partage de ce territoire entre deux États, l'un juif, l'autre arabe, avec, sous contrôle international. Pourtant ils sont bien clairs et correspondent aux pratiques coloniales de l’Etat hébreu, où Sharon se place dans la continuité du projet sioniste clairement énoncé par ses promoteurs, dont Yosef Weitz : chef du Service de colonisation de l'Agence juive, qui déclarait en 1940 : « Entre nous, il doit être bien clair qu’il n’y a pas de place pour deux peuples dans ce petit pays. Durant la période 1945-1947, plusieurs plans sont proposés pour apporter une solution au problème de la Palestine. Sa fonction est d’acheter des terres en Palestine/Eretz Israel et d’y développer le pays en vue de l’implantation des Juifs. Les ambassadeurs des pays siégeant au Conseil de sécurité ont été convoqués au ministère israélien des Affaires étrangères le jour de Noël. Cette résolution 2334 est la 226e résolution adoptée par le conseil de sécurité portant sur le conflit israélo-palestinien depuis la création de l’ONU en 1945. Au moment du plan de partage, la population totale de Palestine est composée pour deux tiers d'Arabes et un tiers de Juifs. Un comité est créé à l’ONU pour continuer les travaux et des modifications sont apportées au projet initial : les villes arabes de Jaffa et Beersheba sont retirées de l’État juif pour diminuer l’ampleur de sa minorité arabe qui passe ainsi de 405 000 à 325 000 habitants et la date de fin du mandat est fixée à « au plus tard le 1er août »[25]. C’est impressionnant ce pays régulièrement condamné (et encore, il y a régulièrement le véto américain…) par l’ONU, mais qu’on ne propose jamais de sanctionner (deux poids deux mesures) Source : Le Monde Diplomatique, février 2009. Là, le représentant soviétique reconnaît le droit des Juifs à l'autodétermination et suggère, au cas où la solution d'un État unifié serait impraticable, d'avoir recours à la partition[18]. Notamment, les émeutes de 1929 qui font 133 morts juifs et 116 morts arabes et une insurrection de 1936 à 1939 qui fait plus de 5 000 morts arabes et 500 morts juifs[11] et qui voit l’arrestation, l’exil ou la mort de la plupart des leaders politiques arabes palestiniens[12]. Le 25 novembre 1947 la votation est relancée à l'ONU. Adoption du plan de partage : la Palestine est divisée en deux Etats indépendants, l’un arabe, l’autre juif, et Jérusalem est placée sous administration des Nations unies. Jusqu’ici on pouvait se contenter « d’acquérir » des terres, mais ce n’est pas cela qui fondera l’État d’Israël. Apres la seconde guerre mondiale, beaucoup de juifs essayent d’entrer clandestinement en Palestine pour chercher refuge, les anglais empêchent ces derniers d’arriver. Sur le terrain, tout est fait pour faire obstacle à son travail d'enquête. Elle est prête à accepter un partage du pays (comme proposé dans le Plan Peel de 1937) mais refuse le projet de cantonisation qui ferait du pays une fédération (comme proposé par le Plan Morrison-Grady). Le résultat est le suivant: 25 voix pour 13 voix contre 17 abstentions 2 absents Mais il manque encore … Ce vote historique fut suivit d’un enthousiasme sans pareil à la radio chez les Juifs du monde entier, tandis que l’heureuse nouvelle amena des milliers de personnes à danser et célébrer dans les rues du nouvel état. Cooperation, Conspiracy, or Collusion, Le partage de la Palestine de 1947 à 1949, Journée internationale de solidarité avec le peuple palestinien, Problématique du matériel lors de la Guerre israélo-arabe de 1948, Protagonistes de la guerre israélo-arabe de 1948, Chronologie de la guerre israélo-arabe de 1948, Guerre civile de 1947-1948 en Palestine mandataire, Événements dans les centres urbains de la Palestine mandataire en 1948, Tueries et massacres de la guerre israélo-arabe de 1948, Déclaration d'indépendance de l'État d'Israël, Accords d'armistice israélo-arabes de 1949, Exode des Juifs des pays arabes et musulmans, Intervention militaire israélienne au Liban, Accord intérimaire sur la Cisjordanie et la bande de Gaza, https://fr.wikipedia.org/w/index.php?title=Plan_de_partage_de_la_Palestine&oldid=180618198, Résolution des Nations unies concernant Israël, Résolution de l'Assemblée générale des Nations unies, Article contenant un appel à traduction en anglais, Page utilisant une présentation en colonnes avec un nombre fixe de colonnes, Article de Wikipédia avec notice d'autorité, Portail:Conflit israélo-arabe/Articles liés, Portail:Époque contemporaine/Articles liés, Portail:Relations internationales/Articles liés, licence Creative Commons attribution, partage dans les mêmes conditions, comment citer les auteurs et mentionner la licence, au nord, l’ouest de la Galilée, avec la ville d’, et le sud de la côte, du nord de Majdal (maintenant, enfin, une zone sous régime international particulier comprenant les. Ils revendiquent l’ensemble de la Palestine, y compris la Transjordanie, pour y fonder un État juif. L’Agence juive base ses revendications sur la Déclaration Balfour de 1917 et sur les termes du Mandat britannique. ». L’État juif proposé est un peu plus grand (55 %) que l’État arabe, mais une très grande partie est occupée par le désert du Neguev (40 %). Le projet est soviéto-américain, il passe en commission le 25 novembre et est ratifié le 29. », « L’étincelle qui mettra le feu à la Troisième Guerre mondiale jaillira de Palestine », Live by the Sword: Israel's Struggle for Existence in the Holy Land, James Rothrock, p.14, Live by the Sword: Israel's Struggle for Existence in the Holy Land, James Rothrock, My library My History Books on Google Play Strands of a Plait, Singly, Rachel Sarna, 1998 p.88, UN Peacekeeping: Myth and Reality, Andrzej Sitkowski, p.41, Résolutions et décisions adoptées par l'Assemblée générale au cours de sa, « Résolution adaptée sur le rapport de la commission, associant ces informations à des références, Comité spécial des Nations unies sur la Palestine, Protagonistes de la Guerre de Palestine de 1948, République socialiste soviétique de Biélorussie, République socialiste soviétique d’Ukraine, guerre civile de 1947-1948 en Palestine mandataire, United Nations Partition Plan for Palestine, Résolution 181 de l'Assemblée générale des Nations unies, Iraeli-Jordanian Dialogue, 1948-1953. Le plan de partage de l’ONU de 1947 n’a jamais été mis en application. Le 29 novembre 1947, l'Assemblée générale des Nations unies adopte la résolution 181 qui prévoit le partage de la Palestine en un État juif et un État arabe. du CETIM, ISBN 2-88053-034-2, 432 pages, 2005. Ont voté pour : États-Unis d’Amérique, Australie, Belgique, Bolivie, Brésil, République socialiste soviétique de Biélorussie, Canada, Costa Rica, Danemark, République dominicaine, Équateur, France, Guatemala, Haïti, Islande, Liberia, Luxembourg, Pays-Bas, Nouvelle-Zélande, Nicaragua, Norvège, Panama, Paraguay, Pérou, Philippines, République populaire de Pologne, Suède, Tchécoslovaquie, République socialiste soviétique d’Ukraine, Union sud-africaine, URSS, Uruguay et Venezuela. Résolution 194 (11 décembre 1948). Voici les outils tiers compris dans cette catégorie : Il n’y a pas de publicité sur Mediapart. Ils jugent également la partition illégale car allant à l’encontre du Livre blanc britannique de 1939. C'est David Ben gourion qui lit la déclaration d'indépendance de l'Etat d'Israël signée par les trente-sept membres du Conseil provisoire. En 1901, le Fonds national juif est fondé à Bâle lors du 5e Congrès sioniste. La première est la création d’un État juif et d’un État arabe indépendants, avec la ville de Jérusalem placée sous contrôle international. En septembre 1947, une première votation a lieu au sein de l'ONU pour décider du sort de la Palestine et de son partage. Avant la résolution 80 de la charte de L’ONU il y a Ezekiel 36 de la Bible, qui il y a 2600 ans annonce, prophétise qu’Israel serait restaurée que l’on soit content ou pas. En juillet 1922, la Société des Nations confie au Royaume-Uni un mandat sur la Palestine et en septembre, les Britanniques fondent l’Émirat arabe de Transjordanie sur la rive est du Jourdain[10],[N 2]. Il y a quelque chose d’archaïque et d’inacceptable dans ce concept de « peuple » juif qui fait que l’appartenance à la religion juive selon les règles rabbiniques (qu’on soit croyant ou non croyant) confère à toute personne, un « droit de propriété sur la terre d’Israël », ce droit ayant été accordé, selon la Sainte Bible qui fait toujours autorité en Israël, par Dieu à son « Peuple » jusqu’à la fin des temps. Ils revendiquent la fin de l’immigration juive et l’indépendance de la Palestine en tant qu’État arabe tout en garantissant que la minorité juive sera protégée, du moins celle des descendants des Juifs établis avant le début de l’immigration sioniste. Comment a t il pu se faire que les crimes commis en Europe contre la communauté juive aient engendré dans des conditions iniques la création de l’Etat d’Israël au détriment du peuple palestinien ? Le 28 avril 1947, celle-ci confie à une commission spéciale, l’UNSCOP, le soin d’étudier le problème. À pratiquer la tolérance, à vivre en paix l'un avec l'autre dans un esprit de bon voisinage. Das Ende des britischen Völkerbundsmandates für Palästina am 14. Les premières violences éclatent en 1920 et 1921 lors des émeutes de Jérusalem et des émeutes de Jaffa. M. DANNY BEN YOSEF DANON (Israël) a rappelé que c’est le 29 novembre 1947 que l’Assemblée générale a adopté la résolution 181 sur le plan … Les Etats arabes et les Palestiniens s’y opposent. Depuis 1944, ils mènent une lutte armée sur fond d’attentats, d’assassinats et d’enlèvement contre les Britanniques et les Arabes et annoncent qu’ils vont continuer celle-ci. Résolution à l'ONU : Israël réplique 12h23 , le 27 décembre 2016, modifié à 10h00 , le 21 juin 2017. Nous avons, a rappelé Israël, accepté la résolution du 29 novembre 1947 sur la partition de la Palestine. L', critiquèrent vigoureusement le partage .La majorité des Juifs sionistes se réjouirent cependant d'obtenir enfin un État indépendant. La première partie du plan précise les dispositions de la fin du mandat britannique, du partage et de l’indépendance des entités. 22 octobre 1973 : le Conseil de sécurité de l'ONU adopte la résolution 338 qui appelle à un cessez-le-feu et à des négociations. Le 29 novembre 1947, l’Assemblée générale de l’ONU adopte la résolution 181 sur le partage de la Palestine, alors sous mandat britannique, et la création de deux Etats, l’un juif et l’autre arabe, Jérusalem ayant un statut international. L’Assemblée générale de l’ONU lors du vote de la résolution sur la reconnaissance de Jérusalem en tant que capitale d’Israël par les États-Unis, hier, à New York. Nous avons, a rappelé Israël, accepté la résolution du 29 novembre 1947 sur la partition de la Palestine. En février 1947, le ministre des Affaires étrangères britannique, Ernest Bevin, propose une libre immigration juive contre l’indépendance de la Palestine dans un délai de cinq ans. Le conflit israélo-palestinien, né de la création de l’État d’Israël en 1948 et des différentes guerres israélo-arabes, a été l’occasion de nombreuses sessions de l’ONU, de nombreuses résolutions, sans qu’il y ait de solutions sur le terrain. Israel : Évolution des frontières, du partage de l'ONU aux accords d'Oslo (1947-1993) Les Britanniques confirment leur volonté de remettre le mandat et les États-Unis et l’Union soviétique soutiennent le plan[24]. Comment se fait-il que les écrits des idéologues sionistes qui visent la mise en place du « Grand Israël » aient été, et son encore aujourd’hui, si peu dénoncés ? J'aime. Le vote à l'ONU du Plan de Partition, le 29 novembre 1947 (Crédit : Government Press Office, Jerusalem) De nombreux Israéliens ont fêté mercredi tel un « … Israël engage alors une profonde modification des frontières tracées par l'ONU lors du plan de partage de 1947. Selon le Plan de partage, l’État juif comprenait la plaine côtière entre Haïfa et Rehovot, l’est de la Galilée et le désert du Neguev, avec l’avant-poste de Umm Rashrash au sud (actuellement Eilat). Le 22 novembre 1967, six mois après la guerre des Six Jours, l'ONU vote la résolution 242, qui doit forcer Israël à quitter les 70.000m² de territoires qu'elle occupe. Le 22 novembre 1967, six mois après la guerre des Six Jours, l'ONU vote la résolution 242, qui doit forcer Israël à quitter les 70.000m² de territoires qu'elle occupe. Il est inadmissible : Que Loi de Moïse ou la Torah puisse avoir une quelconque prévalence sur le Droit international. Le 18 février 1947, faute de pouvoir apporter une solution aux troubles dans le pays, Ernest Bevin annonce officiellement la transmission du dossier à l’ONU. Partager. Une commission est désignée, dirigée par Peel. Le partage et la création des deux États (État juif, État arabe et zone de Jérusalem sous administration internationale), furent donc votés par 33 voix contre 13 avec 10 abstentions. Nous, peuples des Nations Unies, résolus : À préserver les générations futures du fléau de la guerre qui deux fois en l'espace d'une vie humaine a infligé à l'humanité d'indicibles souffrances. L’Agence juive, organe politique officiel représentant les Juifs de Palestine, a fortement milité pour le Plan de partage et le vote des Nations unies y est accueilli avec joie et réjouissances. La résolution 194 dont il est question a été votée le 11 décembre 1948, à l’approche de la fin de la guerre déclenchée par les pays arabes voisins d’Israël. Rapidement, « Israël est l’objet d’une violente campagne de presse », et les relations diplomatiques sont rompues, avant de reprendre, mais très froidement, après la mort de Staline (1953)[33]. Les Etats-Unis, mécontents du résultat, vont faire pression sur les "petites" nations récalcitrantes au projet en leur octroyant des prêts (Haïti), ou encore avec des menaces de faire partir les industries (Libéria) afin de les obliger à accepter la résolution malgré leurs convictions. Merci 39. Cette décision est en contradiction flagrante avec les « bonnes intentions » énoncées dans le préambule de. Description: Le plan de l’ONU voté le 29 novembre 1947 propose un partage de la Palestine sous mandat britannique entre deux États, juif et palestinien, avec une union économique, et prévoit que Jérusalem sera internationalisé et placé sous le contrôle de l’ONU. Si les Arabes restent, le pays restera étriqué et misérable. L’objectif est donc double : affaiblir les Britanniques dans la région, et essayer de faire basculer Israël dans le camp soviétique, en profitant de la domination de la gauche sur le mouvement sioniste et de son alliance avec un parti « farouchement stalinien »[30], le Mapam, second parti du pays après les élections de 1949[30]. Ces dernières ne sont pas pour autant indifférentes au débat qui s'ouvre et le 14 mai, Andreï Gromyko, ambassadeur de l'URSS au Conseil de sécurité de l'ONU, fait une déclaration qui prend au dépourvu les participants. Les mouvements sionistes de droite, l’Irgoun et le Lehi, critiquent toutefois vigoureusement le partage. Selon les chiffres des Britanniques, 1067 Arabes, 769 Juifs et 123 Britanniques ont été tués au 9 janvier 1948, dont 50 chaque jour à Jérusalem[34]. Le retour d’Hajj Amin al-Husseini à la tête du Haut Comité arabe a radicalisé leur position et les modérés sont mis en minorité. Les Juifs luttent pour un État qui leur soit propre, et il serait injuste de leur refuser le droit d’atteindre cet objectif[29]. Ils ne peuvent pas négliger non plus les pressions du gouvernement américain qui appelle à l’ouverture de la Palestine à l’immigration juive et qui soutient la relance de l’économie britannique endettée par la guerre. À accepter des principes et instituer des méthodes garantissant qu'il ne sera pas fait usage de la force des armes, sauf dans l'intérêt commun. En 1914, le Royaume-Uni et l’Empire ottoman entrent en guerre dans le cadre de la Première Guerre mondiale. La Résolution 181 fut adoptée par l’Assemblée Générale de l’ONU le 29 novembre 1947, avec 33 pays votant en faveur, 13 pays votant contre et 10 pays s’abstenant. C’est une question de vie ou de mort. Le Conseil de sécurité déclare que l’expulsion de quatre nouveaux civils palestiniens en mai 1991 par les forces israéliennes constitue une violation de la convention de Genève. De nombreux conflits éclatent entre Juifs et Arabes. La résolution 181 est adoptée par 33 votes pour, 13 contre, et 10 abstentions. Le texte de l'ONU exhorte Israël à «cesser immédiatement et complètement toute activité de colonisation en territoire palestinien occupé, dont Jérusalem-Est» et qualifie les colonies israéliennes de «violation flagrante» du droit international. Israël est sommé d’appliquer la convention de Genève. En 1915, le haut-commissaire britannique d’Égypte, Sir Henri McMahon, promet au roi Hussein ben Ali l’indépendance et le contrôle arabe sur les territoires qui seraient libérés de la mainmise ottomane. Comment a-t-on pu faire partager et assumer au peuple palestinien et aux peuples arabes en général, non seulement la responsabilité d’une histoire qui n’est pas la leur, mais aussi le sentiment de culpabilité consécutif aux abominations de la Deuxième Guerre Mondiale ? La ville de Jérusalem a annoncé, dimanche 25 décembre, avoir l'intention de délivrer plusieurs centaines de permis de construire à Jérusalem-Est, comme mesure de rétorsion après l'adoption, par le Conseil de sécurité de l'ONU, d'une résolution condamnant la colonisation israélienne, qualifiant celle-ci de "violation du droit international". 14 mai 1948 : à la fin du mandat britannique sur la Palestine, David Ben Gourion, président du Conseil national juif, proclame l'indépendance de l'Etat d'Israël. Regards militants sur les Nations Unies » Ed. La résolution a été adoptée par le Conseil de sécurité le 22 novembre 1967, cinq mois après l’écrasante victoire d’Israël, qui a occupé 70 000 km² de territoires arabes. Résolution 181 de l’Assemblée générale de l’ONU (29 novembre 1947) : plan de partage de la Palestine. , et réclamaient le pays au complet .De façon plus technique, les Arabes critiquèrent aussi le tracé de la frontière. La zone internationale centrée sur Jérusalem, compterait 100 000 Juifs pour 105 000 Arabes. Dès la fin du XIXe siècle, la Palestine connaît une immigration de Juifs venant de la diaspora et rassemblés au sein du mouvement sioniste. Le résultat est le suivant: 25 voix pour le partage 13 voix contre 19 abstentions Mais la résolution doit obtenir 2/3 des voix pour être acceptée, ce qui n'est pas le cas. L'État juif proposé est sensiblement plus grand (55 %) que l'État arabe, dont une très grande part occupée par le désert du Néguev (40 %). Le 29 novembre 1947, l’Assemblée générale des Nations Unies vote et accepte la résolution sur le partage, par 33 voix contre 13.
Buddhist Year 2021, Visite Tombeau Des Patriarches, Ot Cassis Location Saisonnière, Conflit Israélo-palestinien - Résumé Pdf, Maillot De Bain Luxe, Les Nerfs Sont Tendus Remix,