Ses joies, ses malheurs. C’est l’histoire de : 5 mecs dans un tank dans la campagne allemande. Carla, finaliste de "The Voice Kids" représentera la France à l'Eurovision Junior Elle interprétera la chanson "Bim Bam Toi" le 24 novembre prochain en Pologne. Boyhood est une grosse bouffée d’air frais, un hymne à la beauté de la quotidienneté. Elle est pas belle la vie ? Bref : Cameron Diaz reste injustement excessivement bien gaulée pour son âge, et Jason Segel était beaucoup plus drôle dans HIMYM que dans ses films. Pas de pot pour lui, des dingues lui piquent sa caisse. Sauf quand c’est Woody Allen, parce que bon un mec qui s’appelle Boisé ne peux pas être foncièrement mauvais. Le duo Channing Tatum/Jonah Hill était exaspérant dans le premier, il est horripilant dans le second. Je vous recommande : de vous abstenir. Très ancré dans la culture américaine, bourré de références et de blagues difficilement accessibles pour un public non-US, le film se jour des stéréotype sur les perceptions que les Noirs ont des perceptions que les Blancs pensent que les Noirs ont sur les Blancs. C’est que Brett Ratner rassemble là ses deux genres fétiches : le fantastique (cf X-Men) et le comique (cf Rush Hour), mais toujours avec beaucoup de baston. Si le film manque par moments de finesse, il n’en reste pas moins réussi. Une fois n’est pas coutume. Bim Bam Boum !Feuilleter un … ), même mise en scène dégueulasse, même montage saccadé et grotesque, mêmes clichés et poncifs des films du genre pourtant abandonnés depuis 30 ans… en même temps, ceux qui vont voir ce film y vont justement pour ça. Rien que l’histoire témoigne de l’absence de sens total du film, et tourne vite au meublage grossier d’une farce très poussive qui tourne en rond. Sorti début février dans le plat pays, le troisième long métrage de JC Chandor confirme le très grand talent du bonhomme après le séduisant Margin Call et le captivant All Is Lost. Ça y est, les réouvertures sont proches et on est là pour t'accompagner à vivre ça comme il se doit ! Durant 2h30, Gareth Evans dévoile un spectacle magistral, empreint de sauvagerie, véritable ballet de corps déchiquetés, chorégraphie dense et frénétique de coups incessants qui rejettent des cascades d’entrailles et de cervelles qui feraient saliver Christian Constant. Un fasciste de merde. Bim bam boum ! En ceci, ce Hunger Games numéro 3 est plutôt réussi. Son Kingsman est un modèle de parodie décalée et assumée, tellement intelligente dans son traitement et dans sa réalisation qu’on ne peut s’empêcher d’adhérer. Attention, le dernier Eastwood n’est pas mauvais, il est juste indolent. Bravo JC. Dommage. Statut: Fermé aux futures réponses. Aaaaah, en voilà un film que l’on espérait qu’il ne viendrait jamais ! Bref : un film assez décevant, surtout pour l’un des derniers rôles de Philip Seymour Hoffman. Du coup, aucun acteur ne parvient à réellement se distinguer, tant la qualité du scénario est inégale et donc trop bancale pour valoriser une quelconque prestation. Bref : une fable pseudo-écolo sans intérêt, bonne pour le recyclage. Bim bam boum ! Si vous ne le voulez pas de toute façon, vous n’êtes pas au bon endroit. Oyez oyez braves pégus ! Ou comment un paisible fermier danois (Mads Mikkelsen, toujours aussi sobre et propre dans son interprétation) va péter un plomb le jour où sa femme et son fils, à peine débarqués en Amérique, vont se faire violenter par les sbires du cruel Delarue (Jeffrey Dean Morgan). Résultat, le film est d’une platitude navrante et d’une naïveté effarante, malgré un gros casting clinquant (Johnny Depp, Rebecca Hall, Paul Bettany, Morgan Freeman, Cillian Murphy, Kate Mara…) et un déluge d’effets spéciaux inutiles. Il aura bientôt plus de silicone que de chair. ??????? Clint Eastwood peut parfois se montrer provocateur et novateur, tout comme il peut sombrer dans la facilité la plus déconcertante. On y suit Ivan Locke, entrepreneur à l’accent chantant et caverneux, se rendant à Londres pour régler un certain problème, et qui doit, par téléphone, gérer d’autres emmerdes (familiales et professionnelles) qui, comme le dit si bien Chirac, volent en escadrille. Le détail qui tue : Brad Pitt possède une pilosité hors du commun. Bref, un film à voir bien évidemment, ne serait-ce que pour la scène de l’église. Bilan : un mort. James DeMonaco reprend son bébé pour un 2ème American Nightmare, le film dans lequel les nouveaux pères fondateurs américains autorisent, une fois par an, tous les crimes possibles (meurtres, viols, clips de Justin Bieber,…) pour « purger » le pays de toute forme de violence. pas grand-chose. Bref : bien que l’enchaînement de « scénettes » du film puisse interroger sur son format (était-il le plus adapté à une telle ambition ? Peut-être plus abouti aussi. Il se révèle au final très prenant et impressionnant. Une sorte de thriller musical – sisi, c’est possible ! En gros : ce qui est cool avec la Seconde Guerre Mondiale, c’est qu’on peut la décliner à toutes les sauces : à coup de snipers, de sous-marins, d’avions, de bateaux,… et de tanks, donc. La guerre c'est qu'un p'tit détail, (gang) Si on vient à toi on liquidera les témoins J'aime quand j'lui fais l'amour, quand j'la sens sous mes biscotos J'connais les rappeurs, la plupart c'est des zigotos J'sors de garde à vue, la daronne va me chicoter Du mauvais côté, … Et c’est là que l’art de la mise en scène change tout, car lorsque la violence rentre en jeu, force est de constater que son traitement est souvent bâclé, stéréotypé, pour ne pas dire clairement moche la plupart du temps. Adapter sur grand écran du Dostoïevski n’est pas une mince affaire. Bref : si vous n’avez pas aimé le premier, vous détesterez le second. Quelque peu dépassé par son trio d’acteurs de qualité (Viggooooo Mortensen, Oscar Isaac, Kirsten Dunst), Amini livre un film noir old school très classique, très académique. Un résultat un peu foutraque, malgré une très belle (une de plus !) Une réalisation et une photo au top, une actrice principale talentueuse et juste, pour un résultat assez lénifiant. Tantôt fin, tantôt saccadé, il parvient à donner au film une intensité folle, qui fait de la violence un défouloir assumé, catalyseur des instincts les plus primaires, permettant de fait des extravagances visuelles où la violence est avant tout artistique avant d’être symbolique. Voilà. Stream songs including "L'ouverture (Mozart l'Opéra Rock)", "Penser l'impossible" and more. Bref : un jour le monde reconnaitra que Tom Hardy est un putain d’acteur. - G.A.S. ] Le problème, c’est que ce Zero Theorem peut se résumer à son seul titre : un essai totalement raté qui revient à cette somme nulle. Attention, les 5 films mentionnés ici ne traitent pas de la violence en elle-même comme sujet principal des œuvres en question, source de questionnement de fond sur ce qu’elle est et ce qu’elle porte (on est très loin des Orange mécanique ou Funny Games), mais ils intègrent la violence comme partie intégrante du film, sous-jacente à l’histoire et instrument indissociable de la narration. En attendant, ce Locke n’est pas indispensable. Bref, tout le monde peut se tromper, l’essentiel étant d’apprendre de ses erreurs. Michael Peña Baiona (Trini Garcia, aka Gordo) : le quota latino de service retrouve l’ami Ayer pour la 2, Jon Bernthal (Grady Travis, aka Coon-Ass) : cantonné au rôle d’éternel acolyte patibulaire, Bernthal ressort les moues féroces et inquiétantes qui ont fait sa renommée dans. Le tout avec la coupe nazie de hipsters repopularisée par Beckham, adoptée depuis par la moitié des footeux de la planète. Sans parler de l’excellent duo d’acteurs formé par Oscar Isaac (qui a lui seul portait le très bon Inside Llewyn Davis) et Jessica Chastain, qui insufflent à ce film une puissance et une profondeur magnifiques. La suite de 21 Jump Street, le film ultra naze, la parodie de parodie de parodie de film pour ados qui vous donne envie de sucer des galets et de lécher des barres du métro parisien plutôt que de le voir. Le tournant pris à cet égard dans le deuxième volet est encore plus accentué, masquant mal la volonté des producteurs de faire trainer les choses en longueur, histoire de pomper un peu plus le public crédule, et de garder ainsi un peu sous le coude pour permettre d’avoir de quoi monter un dernier film avec les restes du tome 3. Bref, si vous n’allez pas le voir, c’est que vous n’êtes qu’un sale raciste de républicain mangeur de bébés phoques. Si ce n’est déjà le cas. Oui, on peut rire de tout, mais encore faut-il que ça soit amusant. Sauf que Marsh a pris le parti de réduire la vie du génie Hawking à son histoire d’amour avec celle qui deviendra sa – première – femme. Comme George. Inspired designs on t-shirts, posters, stickers, home decor, and more by independent artists and designers from around the world. Bref, l’adjectif qui caractérise le mieux ce torchon est: affligeant. – sous forme de duel psychologique entre un professeur de musique perfectionniste et sadique, superbement interprété par le terrifiant JK Simmons et son jeune puceau d’élève de batterie interprété par Miles Teller. Heureusement que l’été ciné ne nous a pas offert que des gros films de bourrins décérébrés, et qu’il est parfois en mesure de vous surprendre avec de petites productions intimistes et poétiques… The Expendables 3 n’est clairement pas de celles-là. Obsédé par l’Afrique du Sud, la violence, la ségrégation et la SF, le springbok Neill Blomkamp récidive pour son 3ème film après son magnifique District 9 et son moins réussi Elysium. Bref, une très bonne interprétation d’Eddie Redmayne, pour un film plaisant, sans plus. Bref : une comédie légère comme il en faudrait plus. Loin de là, son Wild est un film très (trop) académique, tant sur la forme que sur le fond, sorte de cliché de film d’introspection au cœur de la nature, allégorie de la rédemption de l’homme – enfin de la femme plutôt – face à un univers hostile et rassurant à la fois. Claustros s’abstenir. De sa lourdeur et de ses clichés, Blomkamp tire une émotion réelle, et parvient, malgré des poncifs parfois lourds et un travail technique conventionnel, à vous embarquer corps et âme dans une gigantesque bouffonnerie captivante, drôle et charmante, portée principalement par le duo Yo-Landi et Ninja du groupe Die Antwoord – dont les chansons composent une grosse partie de la bande originale… vraiment originale ! Voici un sujet dans lequel je ne fais pas à proprement parler une présentation de village, mais plutôt un fil de discussion pour proposer des villages anti-chevaucheurs de cochon pour la guerre. Bref : si vos enfants ne vous écoutent pas et ne sont pas sages, n’appelez pas Super Nanny, menacez-les avec la bouse de Ferrara. (@louna_cigue) December 7, 2019, continuez les tiktok sur bim bam boum je m’en lasse pas pic.twitter.com/FS6RYshHhX, Après avoir entendu « ÇA FAIT BIM BAM BOUM » pour la 546ème fois de la journée pic.twitter.com/MWdL92HXTQ, Quand j’entend BIM BAM BOUM la 10eme fois de la journée pic.twitter.com/dyMXy6Scmu, — Bea best waifu? La nullité de ce truc (que je ne peux pas décemment appeler film) est sans nom. Ceci alors qu’UGC Belgique a lancé la première saison de son cycle UGC KULT, la diffusion d’un grand classique du cinéma chaque samedi, en lien avec un thème (la violence en 2014/2015), précédée d’un échange avec le réalisateur belge Alain Berliner. tu aimeras ça aussi. L’avantage de ne pas placer trop d’espoir dans un film, c’est que l’on peut rarement être déçu. Et à moins jouer avec les filtres et autres effets rétro bon marché. Et puis le temps, ce luxe ultime que le cinéma ne connaît habituellement pas, est une chose magnifique quand on le prend pour façonner le film d’une vie et la rendre exceptionnellement proche. Statut: Fermé aux futures réponses. Sauf que les Américains n’ont que des tanks en carton-pâte, face aux gros Panzers allemands. Ni Nicole Kidman ni Tim Roth ne parvienne à se dépêtrer de cet amas de clichés bling-bling en carton-pâte et de protocole lénifiant de pacotille. Certes. C’est rien que pour vous, et c’est cadeau : Etrange film que ce Locke. Ça part sur les chapeaux de roue, ça enchaîne non stop, sans chichi ni retenue. #Direct Selon un sondage, 45% des Français estiment que ça fait "bim bam boum", 30% "pshiit et ça fait vroum", 25% pour qui "dans leur tête y'a tout qui tourne". Sur vos écrans depuis mercredi dernier, Dear White People est une petite bombe décapante d’humour NOIR sur les relations compliquées entre étudiants noirs et blancs dans une université américaine, où se retrouvent pêle-mêle coupes afro, Obama et Dennis Haysbert, le premier VRAI président noir américain de la série 24. Le montage est tout aussi brillant. Bon, comme 23 ça fait beaucoup d’un coup, je vais scinder en deux posts pour vous faire plaisir. Il manque de rythme et d’envie. Ça et les biatchs qui se battent en tenue de cuir moulante. Ca calme hein ? Comment des mecs aussi talentueux que Phil Lord et Chris Miller, qui ont réalisé l’un des meilleurs films de l’année (La Grande Aventure Lego, dans mon top 3 jusqu’à présent !) Pas besoin d’extraordinaire, pas besoin de rajouter du pathos inutile. Enfin, j’espère me tromper. Oui, ça vous ferait passer Bob l’éponge pour le summum de la lubricité. Un film imparfait, maladroit et puissant, à l’esthétique ultra léchée et au rythme dingue. Voilà qui résume assez fidèlement l’esprit de ce Brick Mansions, du duo Camille Delamarre/Luc Besson, version encore plus mauvaise que l’original, avec feu Paul Walker en prime (l’un de ses derniers rôles avant qu’il ne décide de faire ami-ami avec les platanes). Et qu’être raciste, c’est cool et ça permet de créer des liens durables. Le but est que chacun propose des idées/des villages ou donne son avis. ... Bim--Bam--Boum MP. We would like to show you a description here but the site won’t allow us. Cette guerre a duré de 1939 à 1945. Pourtant, le britannique Richard Ayoade s’en tire à merveille avec l’histoire de Simon, garçon lambda totalement invisible, qui va voir sa vie bousculer suite à l’apparition de James, son sosie parfait et pourtant son contraire d’un point de vue social, qui va peu à peu chercher à le remplacer. Malheureusement, ce n’est pas lui aux commandes mais Jake Kasdan, qui réalise ce que l’on est après tout en droit d’attendre d’une comédie avec un tel nom : un film pas fin, longuet, divertissant épisodiquement (grâce à Rob Lowe principalement), mais bien lourdingue quand même. Une fois encore, j’ai l’impression d’être devenu un vieux con insensible assistant impuissant au massacre de ses rêves d’enfant au profit d’une opération marketing dégueulasse. La promiscuité, tout ça… Oui, ça aurait pu être le pitch d’un porno gonzo d’Allemagne de l’Est avec tout plein de moustachus dedans. L’adaptation du bouquin de John Le Carré par le gouda Anton Corbijn est assez triste et plate, si vous voulez mon avis. Le film suit l’évolution d’une famille à travers une dizaine d’années. Même structure scénaristique que les 2 premiers volets (pourquoi s’emmerder à embaucher des scénaristes quand on a Stallone ? Tesla : Elon Musk compare son entreprise à la Seconde Guerre Mondiale et… 458 The Legend of Zelda : deux des meilleurs jeux de la saga bientôt sur Nintendo… Sachez que si vous avez déjà fessé votre partenaire d’une quelconque manière, alors vous êtes un dangereux déviant SM. Ajoutez le rappeur RZA, et l’inventeur du Parkour David Belle, et vous obtenez une autre belle merde de l’écurie Europacorp. Puisqu'on te le dit. Alors forcément, parfois, ça fait bobo. Un pur cliché de film indé new-yorkais qui doit cartonner dans les « milieux autorisés ». Une boum pour les enfants... du boum boum pour les parents ! La violence, latente dans tout l’univers Hunger Games, est beaucoup plus suggestive que montrée dans ce troisième volet. Alors viens découvrir une sélection d'informations dont tu n'imaginais même pas l'existence dans tes rêves les plus fous. Concrètement : qu’en dire ? Du coup, on sent quelques flottements et quelques errements, mais l’ensemble n’en reste pas moins assez cohérent et plaisant. Comme le dit si bien notre maître à penser à tous, Hubert Bonisseur de La Bath, l’humour juif, « c’est quand ce n’est pas drôle et que ça ne parle pas de saucisses ». High quality Bim Bam gifts and merchandise. A venir dans les prochains jours, des critiques toutes fraîches de films qui payent leur teu-cha. Vivre à en crever est une chanson sortie le 16 mars 2009.Elle est interprété par le chanteur italiens Mikelangelo Loconte et Florent Mothe.Cette chanson a été écrite et composée pour la comédie musicale Mozart l'opéra rock et est extraite de l'album sortie le 27 avril 2009 [1], puis dans l'édition double CD sortie le 21 septembre 2009 [2]. Entrez votre adresse e-mail pour suivre ce blog et être informé(e) des nouveaux posts. Tout est millimétré, tout est bien propre et académique, mise en scène et photo en tête. — Le Gorafi (@le_gorafi) December 6, 2019, moi depuis hier: ET ÇA FAIT BIM BAM BOUM ÇA FAIT PSCHITTT ET ÇA FAIT VROOM, frère je descends de l’avion direct pic.twitter.com/41esfuPXN7, // Thread des mêmes iconic de BIM BAM BOUM : pic.twitter.com/jp59rvaal8, — [ L???? je peux pas gérer. Guerre Acceptée Bim bam boum. La violence est ici crue, froide, presque mécanique, et renforce un peu plus la légitimation de cet univers foncièrement dangereux et hostile. Bref : la seule production Besson à voir cette année. De : David Ayer, qui m’avait très agréablement surpris il y a près de 2 ans avec le chouette End of Watch, que je vous recommandais ici-même en décembre 2012. : Blue Ruin [sorti en juillet en France – en mai en Belgique] : The Purge 2: Anarchy [sorti en juillet] : Obvious child [sorti en septembre en France] : Sex Tape [sorti en août en Belgique, en septembre en France] : Qu’est-ce qu’on a fait au Bon Dieu ? Dans tous les cas je posterai les résultats de mes défenses à la prochaine guerre. peuvent-ils céder à tant de facilité, et produire un navet de si piètre qualité ? LA SEULE. Un jour. Autant End of Watch m’avait scotché, autant Fury ne m’a pas emballé. Qu’elle soit directe et crue comme dans The Raid, froide et motivée comme dans The Salvation, banalisée et ridicule comme dans Ninja Turtles, édulcorée et simpliste comme dans The Maze Runner ou suggérée et moralisatrice comme dans le dernier Hunger Games, la violence est généralisée au ciné, mais ses représentations diffèrent. Le tout avec un montage de Parkinsonien sous acide. Bien sûr, un tel projet démesuré par nature n’est pas exempt de maladresses ni de longueurs, mais son approche naïve et son concept novateur en font un petit bijou assez réjouissant. Tout dans ce film sonne faux et à contretemps, comme si Gilliam avait fini par devenir la caricature de ce qu’il sait pourtant si bien faire. Las, la critique sociale tombe vite à l’eau, et les clichés s’enfilent comme des perles pendant 1h40 de tuerie à la chaîne. Une partition regardable, mais pas inoubliable. C’est l’histoire d’un jeune clandestin tchétchène musulman (triple peine) qui débarque à Hambourg (quadruple peine), et que tous les services de renseignements (allemands et américains principalement), déclarés ou non, vont chercher à manipuler. Le britannique Matthew Vaughn, à qui l’on doit notamment le premier Kick-Ass, est de ceux-là. #Direct Selon un sondage, 45% des Français estiment que ça fait "bim bam boum", 30% "pshiit et ça fait vroum", 25% pour qui "dans leur tête y'a tout qui tourne". Tentative ratée, tant le québécois Jean-Marc Vallée nous a habitués à mieux, ce serait-ce qu’avec son précédent film Dallas Buyers Club. Avec son polar des années 80, Chandor revisite le mythe de l’American dream, entre violence, naïveté et corruption, avec tout son art de la mise en scène sobre et efficace, ses plans réfléchis et posés, son faux rythme tout en délicatesse et en intensité. La justesse des acteurs (Ellar Coltrane et Patricia Arquette en tête), leur talent, la mise en scène épurée et intelligente de Linklater font l’affaire. Parce que les hommes, ça aime ça la baston. La violence est ici standardisée par des années de matraquage MichaelBayesque (encore à la production de ce navet), à grand coup d’effets numériques qui rendent cette violence synthétique, irréelle, et donc acceptable pour un grand public beaucoup plus choqué et dérangé par des manifestations réalistes (et donc crédibles) de celle-ci. Voilà mes lapins, j’ai à peu près rattrapé mon retard ciné de ces derniers mois. Logan Lerman (Norman Ellison, aka Machine) : Logan, c’est ce petit con principalement connu pour son rôle de. Guerre Acceptée Bim bam boum. 9 ans après ses Trois Enterrements, « western » moderne macabre entre les Etats-Unis et le Mexique superbement réalisé et interprété par lui-même, Tommy Lee Jones remet le couvert pour une nouvelle épopée à travers les plaines désertiques des Etats-Unis, aux côtés d’Hilary Swank. Bim Bam Boum !Feuilleter un … Ce Jersey Boys est, à ce titre, un film paresseux de tout point de vue. En même temps, quand on n’a rien à dire, il faut bien meubler. Chapeau bas. La tension croissante de ce teen-movie dystopique tente de rendre palpable une violence qui tient avant tout du symbole. J’ai toujours apprécié Terry Gilliam parce qu’il n’en a rien à foutre des diktats d’Hollywood et qu’il a toujours conservé son côté déjanté hérité des Monty Pythons. Si tu aimes ce Top, Pris par l’apathie générale, les acteurs (tous très bons individuellement) peinent à faire valoir leurs personnages et le film en général. Efficacement bourrin dans l’ensemble, violent et cru dans son approche somme toute pas trop manichéenne, le film se perd dans des envolées mièvres d’héroïsme dégoulinant, dont la fin à elle seule ferait passer Spielberg pour une petite bite. Et comme la hype et l’explosion de cerveaux est forte, voici quelques tweets drôles sur cette chanson et la reprise par Jujufitcats. Pour vaincre l'axe le mieux c'est de passer par l'Italie si ces derniers sont dans la guerre, car ils sont bien plus faible. Vaughn se jour de tous les codes du film d’espionnage (James Bond en tête) et de tout ce que l’Angleterre peut compter de raffinement et classe légendaire pour vous livrer un Chapeau melon et bottes de cuir résolument moderne, électrisant et ultra-violent, avec ce qu’il faut de blagues potaches et d’accent posh pour vous avoir comme un bleu. La seule scène de mutinerie dans la prison est d’anthologie. – sur Alan Turing, l’homme qui déchiffra Enigma, la fameuse machine de cryptage des messages nazis pendant la Seconde Guerre Mondiale. Films et Séries en torrent9 sur CpasBien cpasbien9, cpasbien, cestpasbien, c est pas bien, c pas bien, Film torrent, torrents series sur c pas bien, Films streaming gratuit sur … Dans une même journée, le type a le temps de se raser et d’avoir une barbe de papa le soir même. Un bon premier film de Justin Simien, réalisé en 20 jours avec seulement 40 000 dollars. Non, ce film est juste assez fade. « Merci pour ce moment », Richard. 25.04.2021. by . je suis seul à pleurer dehors parce que ça fait bim bam boum, ça fait psht et ça fait vroom ça fait bim bam boum dans ma tête ya tout qui tourne et j’ai l’impression de crever, — lucas / regarde mon tweet épinglé (@lucartable) December 6, 2019, Et ça fait bim, bam, boum ? Son adaptation signée Felix Herngren est absolument géniale. Statut: Fermé aux futures réponses. Je n'ai pas encore testé ce village, mon clan ne fait la guerre qu'une fois toutes les deux semaines. Il faut dire que l’histoire (la traversée du désert australien à dos de chameau dans les années 70) ne prête pas franchement à l’extase ou à la gaudriole. Il va nous manquer le con. Avec ce film, David Ayer oscille entre très bonne critique de guerre (qui dépasse le simple « la guerre c’est mal et la violence c’est pas bien les enfants m’voyez »), spectacle visuellement très bien mis en scène (photo et montage au top), et clichés lourdingues qui plombent un film qui possédait pourtant un bon potentiel de départ. Et qui dit comédie française dit forcément Christian Clavier (à ne pas confondre avec Guillaume Gallienne, de la Comédie Française). Absolument jouissive. Respect. Si je vous dis Olivier Dahan : a) vous riez b) vous blêmissez c) vous vous carapatez ou d) tout cela à la fois ? Bref : The Double est de prime abord très austère et peu facile d’accès. ^^ Si vous voulez servir de cobayes et poster vos défenses.. je vous en serai très reconnaissants. C’est bien simple, c’est la quintessence de ce que le puritanisme américain refoulé peut produire de pire en matière de clichés débiles et puants, pour ne pas dire nauséabonds. A voir. Sans vouloir donner dans le mauvais jeu de mots facile, ce Transcendence n’est pas franchement transcendant. L’histoire d’une bande de papys mercenaires menés par Stallone, partis dégommer un autre papy vendeur d’armes, Gibson. Personnellement, j’ai toujours envie de croire que même après plein de films pas très bons, on peut toujours réussir à sortir quelque chose d’intéressant. BIM BAM BOUM (version CRS) - Forum Forum de discussions de chat convivial pour les membres de Koreus.com L’ensemble se tient toujours pas trop mal, mais on va regretter tout de même le pauvre Philip Seymour Hoffman. ), il n’en demeure pas moins une très belle réussite. est un condensé d’humour juif. Un résultat classique et prévisible doublé d’une tendance au pathos très prononcée, où les paysages magnifiques ne suffisent malheureusement pas à meubler 2 heures de film qui paraissent bien longues. Mots cochons qui font gagner en référencement, Petit récapitulatif de l’été ciné [part 2], Alors que le premier opus se contentait d’une bête forme de, Même structure scénaristique que les 2 premiers volets, Petit récapitulatif de l’été ciné [part 1], Hundraåringen som klev ut genom fönstret och försvann, Le vieux qui ne voulait pas fêter son anniversaire, Classement des meilleurs films de 2014 (rien de moins), The Hobbit: The Battle of the Five Armies (Le Hobbit : La Bataille des Cinq Armées). 1 min read. La violence comme justification d’une vengeance primaire, et qui a pour volonté de crédibiliser une vérité qui n’a sûrement d’historique que le nom, mais que la culture (US principalement) a contribué à populariser et à généraliser comme vérité universelle : le Far West est par nature un monde brutal et inhospitalier. 208 likes. Son Kingsman est un modèle de parodie décalée et assumée, tellement intelligente dans son traitement et dans sa réalisation qu’on ne peut s’empêcher d’adhérer. Tout le budget partant dans les cachets des acteurs et dans les effets spéciaux, on se retrouve avec du bon gros déjà vu : des grosses cylindrées, de grosses courses poursuites, des explosions. C’est à peu près aussi bandant qu’une rediffusion nocturne d’un épisode de Chasse et pêche et aussi excitant qu’un balai à chiottes sur une aire de routiers de l’autoroute A13. En cela, le danois Kristian Levring déçoit un peu, tant son film – qui transpire le classicisme sans aucune once d’originalité – peine à prendre un peu de hauteur et ne fait que s’inspirer, sans beaucoup d’imagination, que des maitres du genre (Sergio Leone en tête) mais sans aucun recul. Sorti en même temps, The Maze Runner (Le Labyrinthe) est plus méritant dans son approche (il n’y a pas de mal, certes) bien que profondément édulcoré. [sorti en avril] (ah oui quand même) : Brick Mansions [sorti en avril lui aussi] : The Homesman [sorti en mai en France, en juin en Belgique] : Welcome to New York [pas vraiment sorti au ciné, mais directement en DVD en mai] : Hundraåringen som klev ut genom fönstret och försvann : à vos souhaits. Contribution des pégus d'Orgrimmar. On sait bien que t'as encore 5 minutes... (ex-rédacteur chez Topito)
- Dr Boum est pessimiste - Archiviste Elysiana et Prince du mal Rafaam peuvent désamorcer les bombes ( Et c'est vraiment pô drôle ) - Assez dépendant de la RNG de la pioche - La guerre ça coûte cher ! All orders are custom made and most ship worldwide within 24 hours. Bref : la seule morale que je retiens, c’est qu’au final on est tous le raciste de quelqu’un d’autre. La violence, très picturale (la photo de Jens Schlosser y est pour beaucoup) répond ici à la plus basique des motivations (et le ressort le plus élémentaire du film d’action en général) : la loi du Talion. Kingsman fait partie de ces films qui vous donnent la pêche et vous font dire que certains réalisateurs ont beau être de petits malins, ils peuvent tout de même être rudement doués pour vous embarquer dans des périples improbables, pour ne pas dire abracadabrantesques. Sans hésitation. C’est bien simple, tout est lisse, rien ne ressort, pas même le talentueux Benedict Cumberbatch que l’on a connu plus emballé – et plus emballant. Tout simplement que c’est pas très drôle, poussif, et très très mal interprété (mention spéciale aux 4 gendres, plus nuls les uns que les autres). Ou alors scénariste en grève. Compréhensible, mais frustrant. Bref : une invitation au voyage. Bon, passons outre la pauvreté scénaristique du bidule, (je parle de pauvreté pour ne pas parler d’absence pure et simple), les dialogues qui vous donnent envie de noyer des portées entières de chatons, le « jeu » neurasthénique des acteurs sous propofol, ou la mise en scène digne des plus grandes heures de Derrick. 47. Voici Fury résumé en un paragraphe.